Présidé par Julien Benneteau, le jury de la 5e édition des Trophées du Golf s'est réuni début février au Golf de Saint-Cloud. Les premiers nommés ont été révélés sur la page Facebook des Trophées.
# AVEC EVIAN, AMUNDI TOURNE LE REGARD VERS L’ASIE
L’année a bien débuté pour The Evian. Entré parmi les partenaires en 2020, Amundi, le plus gros gestionnaire d’actifs européen, a décidé de passer la seconde en devenant partenaire titre du 5e Majeur féminin, avec une cible : prendre parole auprès du continent asiatique.
Le golf féminin se prête parfaitement à cet objectif, puisqu’environ 60% des joueuses du LPGA sont originaires de Corée du Sud, du Japon, de Thaïlande et de Chine et que, par là-même, l’exposition de The Evian est conséquence sur le continent, les Américaines représentent un bon pourcentage du reste du champ de jeu.
La convergence des intérêts de The Evian et d’Amundi s’exprime dans le développement de la distribution du tournoi auprès des diffuseurs asiatiques. En interne, et avec IMG, détenteur des droits, l’on travaille pour déployer des droits télévisuels renforcés avec les pays-cibles : la Chine, la Corée du Sud et le Japon notamment, et trouver les bons produits digitaux.
Amundi a signé pour 5 ans, avec un investissement qui a permis d’augmenter la dotation du tournoi, passée de 4,1 à 4,5 M$. Le tournoi propose aujourd’hui la 2° dotation au monde, à égalité avec le British Open. L’US Open reste le tournoi féminin le mieux doté de la planète.
Outre le continent asiatique, Amundi vise également l’autre grand marché du golf féminin : les Ztazunis. Un ciblage confirmé par Franck Riboud himself lors de la publication des bans conférence de presse d’officialisation du changement de statut d’Amundi : « Cet accord marque une rencontre de stratégie et de vision entre Amundi et l’Evian Championship. La notoriété et la force de cette marque vont contribuer à installer l’Evian Championship sur un piédestal – n’ayons pas peur du mot – dans l’univers anglo-saxon. Il est important de nous y renforcer. Nous avons avec nous la plus belle marque du monde : Rolex. Avec Amundi et Evian, cela fait un beau chapeau. On a eu les arrivées de BMW et de Ricoh. Cela prouve que quand le produit est bon, les sponsors viennent. »
Pour Yves Perrier, le patron d’Amundi qui a pris de la bouteille avec le sponsoring de l’open de France messieurs, le gestionnaire d’actifs se recentre, et s’excentre : « Le rayonnement international de ce tournoi bénéficiera à Amundi notamment en Asie, région importante pour notre groupe qui en a fait un axe essentiel de son développement ».
Et Alain Berry, son directeur de communication, d’ajouter : « Amundi ne sera plus présent à partir de 2021 à l’Open de France (masculin). Nous avons choisi le golf féminin afin d’être plus en phase encore avec la notion d’égalité des chances, un socle des valeurs d’Amundi ; le rayonnement du tournoi d’Evian est international avec une résonance particulière en Asie ; La qualité des équipes en charge de l’organisation et les valeurs portées par le tournoi ont également été des éléments déterminants. »
La filiale du Crédit Agricole s’apprête donc à quitter l’open de France masculin après en avoir été le partenaire majeur de 2011 à 2019 ; elle sponsorise à titre local le LETAS en République tchèque ; il se murmure que son investissement dans le golf féminin pourrait ne pas s’arrêter là : l’envie est de soutenir les joueuses européennes face à leurs terrrribles rivales asiatiques et américaines.
A noter enfin que, outre Amundi, monté en grade pour devenir partenaire-titre, The Evian a pour partenaires majeurs Rolex et Evian, que BMW est partenaire officiel depuis 2020 et que Ricoh est passé du statut de fournisseur officiel à celui de partenaire officiel.
On allait oublier : le champ de joueuses sera porté à 126 au lieu de 120. Les structures d’hospitalité seront plus légères, plus souples dans le montage… Et donc plus facilement modulables et adaptables au contexte sanitaire, cet été.
Le Billet Vert vous emmène au long cours à la découverte de la communauté de l'Agref. Nous sommes allés à la rencontre de Gilles Barbier, greenkeeper du Domaine de Manville.
Gilles, quel est le parcours qui vous a mené au golf du domaine de Manville ?
« Je viens du monde agricole, j’ai toujours vécu dans la région, mais j’ai beaucoup voyagé, ce qui m’a nourri. C’est parce que j’ai travaillé sur un golf compact 9 trous dans le Luberon à côté d’Apt (Golf Pitch 130) que je me suis retrouvé dans le métier. Je suis tombé dans la marmite, bien épaulé par l’intendant de Pont-Royal. Puis cette opportunité s’est présentée au golf de Provence, en janvier 2014. J’ai fait la fin des travaux et participé à l’ouverture de l’hôtel pour juin 2014. On a ouvert le golf en mai. Au départ, il n’était ouvert que pour les clients de l’hôtel.
J’avais participé à la création du compact d’Apt, mais arriver au golf du domaine de Manville a été une expérience riche et difficile, car il y a eu des conflits avec l’entreprise et l’architecte. Cela n’a pas été simple, mais j’avais la confiance de la direction. Alors on s’est retroussé les manches. Nous avons fait de grosses opérations de regarnissage des fairways et des roughs, et on a repris l’arrosage pour avoir de meilleurs résultats. Récemment, nous avons construit un vrai practice, après avoir acquis une parcelle de terrain mitoyenne.
Comment est constituée votre équipe ?
L’équipe est composée de 10 jardiniers et d’un maraîcher permaculteur. Il y a en permanence un jardinier qui s’occupe des espaces verts de l’hôtel. Dans ces 10 jardiniers, deux sont en alternance, un passe un bac pro Espaces verts, et un est en formation en alternance greenkeeper. Un autre est plus en charge de l’atelier, de l’entretien des machines, et deux s’occupent de l’arrosage.
Quelles sont les principales opérations pour vous en dehors des classiques rituels saisonniers ?
Tous les ans, nous avons du regarnissage. A l’origine, il y avait sur le parcours du cynodon, que nous avons remplacé par un mélange de fétuque, pour plus de régularité.
Je gère aussi les espaces verts du domaine. On a également monté un jardin en permaculture pour alimenter les restaurants du domaine. Le jardin faisait un demi-hectare l’an dernier, nous ajoutons un demi-hectare cette année, avec comme projet d’occuper deux hectares de jardin, avec un poulailler et les 20 ruches du domaine. Le golf a une identité à part de l’hôtel, et on a gardé le statut agricole pour le domaine de permaculture.
Cette année, nous modifions un trou qui passe de par 3 à par 4, en dogleg. Et, régulièrement, nous faisons du regarnissage.
Le réflexe écologique est au cœur de votre activité ?
Au départ, nous avons cherché à être le premier parcours labellisé Ecocert dès la construction, mais on a manqué l’objectif pour deux petits points. Mais depuis 2014, on est labellisé Ecocert. Il y a beaucoup de bon sens là-dedans. Il faut faire attention au traitement en produits phytosanitaires, ce qui est simple pour nous parce que nous ne sommes pas de gros consommateurs. Et on améliore les sols année après année.
On a également acheté un composteur, pour la permaculture, ce qui fait que tous les déchets de cuisine vont au composteur. On sort notre propre compost pour la permaculture et pour le parcours, si on y fait des aménagements.
Les Baux de Provence sont sur un caillou. On a la chance d’avoir les canaux d’irrigation agricole. On a une prise sur le canal, et on alimente un bassin de stockage qui récupère une partie des drains du parcours. On n’est pas embêté par la problématique de l’eau, d’autant que nous avons beaucoup retravaillé la triangulation des arroseurs en respectant le sens du vent dominant, le mistral. Ainsi, l’arrosage est devenu bien meilleur en termes d’efficacité.
Comment cohabitez-vous avec les golfeurs, pouvez-vous nous donner un aperçu de la tendance actuelle ?
Le golf est ouvert 365 jours par an. On tient tout un calendrier pour annoncer les opérations qu’on veut faire et s’organiser par rapport aux événements, pour essayer de générer le moins de nuisance pour les joueurs. Si, demain, on entame le regarnissage d’un trou, les joueurs sont informés à l’accueil et par la newsletter. Mais comme tout golf, on a un problème récurrent dû à l’irrespect et l’absence de prise de conscience des golfeurs à l’égard des divots, des pitches et des bunkers. Le membre d’un golf a toujours tendance à dire que c’est la faute du joueur extérieur, ce qui n’est pas tout à fait vrai. Et cela pénalise notre travail.
Quelles sont les spécificités du golf du domaine de Manville ?
Notre parcours est très jeune, il est en phase de croissance puisque cela ne fait que 7 ans que nous sommes en place. L’évolution est très intéressante, elle présage d’un bel avenir. Le lieu est sublime : nous sommes dans un écrin que les joueurs passent autant de temps à photographier qu’à jouer. Mais ce qui est très spécifique, et c’est d’ailleurs unique en Europe, c’est que nos greens et nos bunkers sont tous angulaires. Cela nous est imposé par les Bâtiments de France, et cela a à voir avec la pierre de taille, la pierre d’ici, qui est carrée. C’est atypique. Il y a aussi des murets de pierre derrière certains bunkers ».
Le Challenge Tour a donné son accord : le Hopps Open de Provence se jouera du 16 au 19 septembre au Golf international de Pont Royal !Bien joué !
La confirmation de la date pour cette 3e édition a rassuré Julien Nazarian, le président de Pro Sports Events, qui était plutôt confiant – et c’est beau de l’être, en cette période !
Fin 2020, l’organisateur a commencé à envisager avec la FFGolf un tournoi co-sanctionné avec le Legends Tour (ex-Staysure Tour), mais cette discussion avec le Legends n’a finalement pas abouti, ce qui explique ce léger retard. La réunion des deux tournois n’était pas simple à réaliser pour deux raisons : les Seniors jouent sur 3 jours alors que le Challenge Tour se déroule sur 4 jours, et la dotation est plus élevée sur le Legends Tour.
« Le contrat initial entre le Challenge Tour et Pro Sports Events était signé pour trois ans, explique Julien Nazarian, et nous avons l’intention de le renouveler pour trois années supplémentaires. L’Hopps Open de Provence est résolument implanté au Golf de Pont Royal et nous avons toujours le doux rêve de recevoir un jour l’European Tour sur le parcours Ballesteros. Nous formons une véritable équipe avec le club et notre partenaire titre Hopps Group, le premier acteur postal privé en France et des services logistiques (avec Colis privé, Adrexo, Dispéo) ». Le budget reste identique, établi à 350 000 € HT. Les fondamentaux ne changent pas : 130 joueurs, dont une quarantaine de Français ; l’entrée reste gratuite, règles sanitaires comprises, tout en espérant que les restaurants auront rouvert et que les opérations de relations publiques pourront se tenir ; un plan média autour de Golf+ et des presses golfique et régionale est constitué ; le concours « Beat the Pro » aura lieu avec les jeunes de la Ligue PACA, tout comme le clinic ; une centaine de commissaires sera à l’œuvre.
La nouvelle a de quoi ravir Jérôme Laurédi, le directeur de Pont-Royal et son équipe (dont Thibault Sampoux son adjoint), son nouveau Président Alain Rault, et bien entendu Eric Paumier et son épouse pour Hopps Group ! Elle enchante également les partenaires, la FFGolf, dont Christophe Muniesa, qui défendait la date auprès du Challenge Tour, mais aussi la Commune de Mallemort de Provence, les sociétés Bowe Systec, Everial et la SMI Paulet, ou encore le nouveau patron du Challenge Tour, Jamie Hodges, et l’ancien, Alain de Soultrait, ainsi que Jean-Yves Ortega, le président de la Ligue PACA et le Comité départemental 13 . Cela constitue une jolie famille, n’est-ce pas ?
Rubrique offerte par Pro Sports Organisation pour le Hopps Open de Provence.
# NATIONAL GOLF WEEK
Voici le plan de bataille : 3500 m² de structures pour recevoir public, partenaires et médias, 28 tapis au practice du par animés par 9 groupes d'équipementiers, 2 putting greens pour essayer tous les putters du marché ou participer aux jeux-concours caritatifs, une chipping zone pour dompter les meilleurs wedges et défier des pros...
Et bien sûr les 6 trous magiques de l'Albatros pour admirer 32 proettes et pros stimulés par l'excitation du match-play ! L'espace Ryder accueillera toutes les familles du golf avec les chaînes et réseaux, les sites de réservation, les enseignes de distribution, les équipementiers, les tours operators, spécialistes des accessoires, du textile...
On en sait plus sur le programme qui attend tous les passionnés qui auront rallié le Golf National : Mercredi 31 mars
dès potron-minet le BARNES PROAM réunira 32 équipes sur les 18 trous de l'Albatros
les TROPHÉES DU GOLF comme soirée d'ouverture de la National Golf Week, dans l'espace VIP, baptisé "SQY Lounge"
Jeudi 1er avril
ouverture des portes au public de 8h30 à 18h
début du NATIONAL MATCH PLAY (1/16 et 1/8 de finale)
compétition féminine en double greensome stableford sur l'Aigle
Vendredi 2 avril
ouverture des portes au public de 8h30 à 19h
fin du NATIONAL MATCH PLAY (des 1/4 à la finale)
compétition sénior en double greensome stableford sur l'Aigle
Samedi 3 avril
ouverture des portes au public de 9h à 18h
challenge des écoles de golf d'Ile de France sur l'Aigle
pro-am ouvert à tous sur l'Albatros
Et bien sûr tous les jours l'espace Ryder, les essais, fitting, démos, concours, et animations organisées avec des pros (Raphaël Jacquelin, Joël Stalter, Christian Cévaër...)
Retrouvez chaque jour les annonces et les joueurs présents sur les réseaux sociaux.
# MATTHIEU BAQUIER : « PROPOSER LE SPECTACLE DES MEILLEURS JOUEURS FRANÇAIS »
Matthieu Baquier est le co-fondateur du circuit XTOUR.GOLF avec Didier Labatut. Il raconte son circuit !
« Je suis arrivé un peu par hasard dans le golf, qui est ma passion, et c’est en exploitant la licence du Golfboard que j’ai fait mes premiers pas dans cet univers. Ensuite, j’ai organisé des compétitions, ce qui m’a permis de rencontrer des joueurs pros. J’ai réalisé que leur vie était entièrement dédiée à leur sport, ce qui représentait beaucoup de dévouement pour peu de gains au final. Franck Daux m’a parlé du « Pay and play » à l’anglo-saxonne, ce qui m’a inspiré, surtout en cette année de Covid qui a provoqué l’annulation de beaucoup de tournois. J’ai pensé que c’était l’opportunité de développer cette formule dans le paysage golfique en France. Il faut souligner que j’ai suivi les traces des précurseurs comme Marc Farry (pour les joueurs du Staysure), Stan Caturla (avec son Win Tour), ce qui m’a conforté dans l’idée que ce projet avait du potentiel.
Notre calendrier du 1er semestre est tout à fait valable ; il a démarré au PGA Catalunya cette semaine, où nous avons eu un peu plus de 60 joueurs inscrits chaque jour. La dotation est évolutive en fonction du nombre d’inscrits (360 € pour les pros et 180 € pour les amateurs) : elle représentera plus de 70% du montant des inscriptions. Nos partenaires nous permettent de financer l’organisation dont les principaux coûts sont la privatisation du parcours, les déplacements du staff, et les frais de communication. L’équipe est composée de trois personnes, dont Franck Daux.
A date, nous confirmons les prochains rendez-vous : à Terre Blanche et dans le Sud-Ouest avec les duos Chantaco-Arcangues puis Cély-Courson en région parisienne. Nous choisissons des dates en début de semaine pour ne pas bloquer les golfs et essayons d’enchaîner des journées sur deux golfs proches pour réduire les frais.
Nous proposons un an de sponsoring pour le meilleur amateur avec des billets d’avion Air France, un équipement complet Srixon et des tenues offertes par Lacoste. Le niveau promet d’être élevé, nous avons des index négatifs !
Pour le 2° trimestre, l’objectif est de jouer à Toulouse (Seilh et Palmola, à confirmer) début octobre, puis Lacanau et un autre parcours à la suite, le Cap d’Agde et Massane en novembre et enfin Seignosse et Moliets début décembre.
Certains golfs nous appellent car leurs bons amateurs peuvent jouer avec des pros, et c’est toujours agréable de proposer le spectacle des meilleurs joueurs français. Nos têtes d’affiche sont Pavon et Langasque, et beaucoup de joueurs Challenge Tour, Alps Tour et Pro Tour. Nous avons aussi des proettes : Alexandra Bonetti et la Belge Savannah de Bock, tandis qu’Emma Grechi les rejoindra à Terre Blanche. Nous attirons aussi des joueurs européens (de Suède, Irlande, Portugal, Espagne…). Nous recevons beaucoup d’encouragements de leur part, ce qui fait vraiment très plaisir !
Pourquoi le XTour ? Parce que notre circuit est totalement indépendant ! C’est un sacré challenge, car nous devons respecter les contraintes sanitaires, pour garantir la sécurité nécessaire aux participants et obtenir les autorisations indispensables (notamment pour traverser la frontière pour notre première étape). Mais c’est un challenge passionnant ».
# LA NOUVELLE VIE DE JULIEN XANTHOPOULOS
Dans le soleil couchant, porté par un souffle d’Ouest aux senteurs d’embruns auquel se mêlaient des effluves de tarte aux pommes flambée au calvados, Julien a quitté le golf de Cabourg l’an dernier après quatre ans de bons et loyaux services en tant que directeur, et il a repris sa route. Direction ? Les quatre coins de l’Hexagone (où est le problème ?) !
Cap à l’est, l’ancien du Tour européen a signé un nouveau contrat de 3 ans avec Canal+, qui consolide une collaboration de 10 années de commentaires (12 tournois PGA Tour dans l’année), une présence régulière dans Golf+ le Mag, et la présentation de « L’œil des pros ».
En formule mensuelle, cette série technique proposera un invité (joueur, coach technique ou physique, préparateur mental…) et fera appel aux consultants de la chaîne (Tarnaud, Larretche, Allain…) qui prodiguent leurs conseils techniques. « C’était important pour moi de concrétiser cet engagement à long terme aux côtés de la chaîne avec qui on travaille très bien », sourit Julien en réajustant son col. Cap tous azimuts, aussi, grâce à la création de « Julien Xanthopoulos Golf », sa nouvelle société de consulting polymorphe, riche de ses expertises diverses (média, parcours, coaching, enseignement et entreprises). Cap sur les Alpes, grâce à un engagement avec Jabra pour le Jabra Ladies Open, pendant lequel Julien accompagne les clients et participe à la réflexion sur la stratégie golf de la marque. « Cette société est vraiment très dynamique et souhaite s’investir dans le golf en général et le féminin en particulier. Cette belle histoire est née d’une « Ryder Cup » privée entre le bureau du Nord de l’Europe et celui du Sud, qui s’est muée dans le temps en un tournoi LET qualificatif pour The Evian Championship ! », raconte Julien en redressant son Stenson. Cap à l’Ouest pour celui qui va donner des leçons dans un simulateur à Rennes (Up and Golf Academy) et qui travaille aussi à organiser des stages dans des lieux prestigieux comme l’Evian Resort ou au Vaudreuil à partir du printemps. « J’avais programmé un stage au Portugal mais avec le confinement nous avons dû le reporter à une date ultérieure », pondère le consultant en peignant son fouet. Cap sur l’hémisphère Sud, puisque Julien est toujours le parrain de la Beachcomber Golf Cup, « dont j’espère accompagner la grande finale à Maurice en 2021 » s’enthousiasme, en mâchonnant son brin d’herbe et en repassant son short de plage, plus vite que son ombre, le Lucky Luke du golf qui vise toujours juste.
Reste un cap à mener, celui qui le mènera vers un projet d’académie, « un objectif important pour moi » achève Julien en tirant deux flèches dans le cœur de la crise sanitaire.
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